ont-t-elles pris elles aussi leur envol vers le rêve

t’aime

maman
« druide centenaire », dont les fenêtres seraient toujours ouvertes au soleil, à la pluie et au vent !
je
ne trouve pas de rime à ces images, pas de noeud assez magnifiquement vaporeux, pas de pierre assez lourde….pour te dire notre amour !
Un coeur, plus qu’une gravure dans la terre, mais un vrai symbole : celui que chaque jour tu nous offres en signes
d’amour infini … plus infini que tes volcans et tes monts, plus infini que l’océan d’où tu aimais voir tomber le jour !
Gwendoline, quand tu contempleras ces images, sache que tu as occupé
chaque seconde de nos pensées cet après midi là… Yoann t’attend près de ces pierres et ne mettra pas de frontière au temps
« je t’aime toujours très fort
» : Cannelle.
Comme j’aimerais la voir des nuages…Pour l’instant, je ne fais que l’imaginer ! Mais que cette esquisse sera
belle, emplie de feuillage, de couleurs et de fleurs !
Elle avait la trempe des femmes du grand large, elle aimait le violon, vivre travailler et rire à en oublier le
sommeil et, par dessus tout …
respirer le parfum des violettes !
maternelle que je n’ai jamais connue, envolée si jeune, et dont je n’ai que le chapelet, que ma tendre soeur Cathy me donna lorsque tu t’envolas à ton tour : il repose à tes côtés sous le
crépitement des feux de joie de la cheminée….mais, parfois, un irrésistible besoin me pousse à le prendre, souvent par grand vent de chagrin ou de doute . Je le serre à en
épuiser mes forces et il me fait alors vaincre toutes les tempêtes !
jour), m’ont proposé les violettes de leur jardin, je n’ai donc pas hésité un instant…ces toutes premières fleurs sur ton coeur t’étaient en quelque sorte destinées !
« enfant du printemps »
je t’offre un jardin …celui de mon regard !
d’émotion, je t’invite à contempler toutes ces premières éclosions du printemps en les imaginant danser délicieusement, se balancer innocemment sous le vent de cette musique à la
fois caressante et sucrée comme le miel mais audacieuse comme la pluie …
passage sur ce sentier de la toile…mais, aujourd’hui, j’aime à faire voler quelques pétales de plus vers un pèlerin qui foule, en ce moment même, le sol du Chemin !
côtés de Yoann…
et la Sumène se souviendra sûrement toujours de cet incroyable hommage que tu lui rendis, de ce « coeur à coeur » qui a duré 2 jours, de la douceur de vos mots que
j’imagine, de la force et de la profondeur inqualifiables qui les enveloppa !
offrande, Philippe, mais je te les dédie quand même …
je te dédie ce morceau de musique en hommage à la Sumène, pour la candeur de ses vibrations, le feutré de ses pas dans sa danse infiniment angélique …
D’explosions de bonheur
aux premiers pas émouvants timides …
boutons d’or,
poésie du soleil…
splendide printemps !
EvaJoe Des mots – 8 Avr., 2009 – Que d’émotions, de tendresse, d’amour dans ces mots resplendissants de beauté, de passion qui nous invite à aller nous recueillir ou à passer et s’attarder. De
belles fleurs se mélangant avec d’aussi beaux mots ne peuvent que nous faire nous attarder auprès de vous.
C’est aussi reposant de lire ces quelques lignes, on a envie de retourner vers vous trois.
Je t’embrasse
EvaJoe
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