Je n’avais pas prévu aujourd’hui de composer ce billet, mais je me sens à ce point « libre » que j’ai envie de le
dire, de l’écrire …
dire, de l’écrire …
libre d’avoir touché la terre dans son coeur et ses racines, de l’avoir délivrée d’un fouillis végétal tenace et
disgrâcieux, lacéré entre innombrables filaments de ronces …je me sens aussi libre que ce coeur qui, à présent, respire et n’a plus le regard effarouché d’une jungle
!
disgrâcieux, lacéré entre innombrables filaments de ronces …je me sens aussi libre que ce coeur qui, à présent, respire et n’a plus le regard effarouché d’une jungle
!
Oh!
combien libre, mon ange…et qu’est-ce qu’elle sentait bon cette terre ! Je raffolerai toujours de son odeur, à la fois fraîche et suave
comme celle des tonneaux ; et comme il m’aurait plu d’être sommelière ou paysanne ! Et, tout en malaxant la terre, en l’empoignant même souvent, j’ai fait ainsi des tas de rêves, dont je
t’ai fait part, pensant avec exubérance ou vivant le silence à plein poumon !
combien libre, mon ange…et qu’est-ce qu’elle sentait bon cette terre ! Je raffolerai toujours de son odeur, à la fois fraîche et suave
comme celle des tonneaux ; et comme il m’aurait plu d’être sommelière ou paysanne ! Et, tout en malaxant la terre, en l’empoignant même souvent, j’ai fait ainsi des tas de rêves, dont je
t’ai fait part, pensant avec exubérance ou vivant le silence à plein poumon !
Tout est à
présent de nouveau si beau, si enjoué et si avide de liberté…
présent de nouveau si beau, si enjoué et si avide de liberté…
comme ce tapis
scintillant de pétales échappées furtivement du pommier,
scintillant de pétales échappées furtivement du pommier,
la terre qui se fraye des
passages secrets entre les sillons de mes mains,
passages secrets entre les sillons de mes mains,
cette jolie petite frimousse de chaise au parfum exotique qui joue avec le
vent,
vent,
ou ce romarin aux rêves un peu fous
qui ne cesse de tendre les bras vers les nuages !
Je me sens si
libre
libre
de
pouvoir tant t’aimer !
pouvoir tant t’aimer !
A Yoann : « Enfant de la terre et du vent »
EvaJoe Des mots – 1 Mai, 2009 – Beauté des mots, beauté de ton petit jardin, j’imagine et je sens la présence de quelques choses d’insoupçonnable,un amour immense , nait chaque jour entre ton
enfant , cet enfant qui est plus présent maintenant que avant.Magie céleste, bien que magie ne soit pas appropriée , ou présence d’un là haut indéfinissable, de cette vie après la mort, celle qui
ne se touche pas, qui efface la présence du corps mais que tu magnifies par tes écrits….
Tu me donnes beaucoup de réflexion, mais MERCI, énormément merci à Toi SABINE et à ton fils.
Je t’embrasse
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Philippe P – 1 Août, 2009 – En regardant cette photo, des larmes mes viennent, j’aperçois Yoann , pendant 3mois il à cheminée à mes côtés, il est encore avec moi et je vais le ramener à la maison
et à sa maman…….
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