
Cet après midi là, la baguette tourna très légèrement dans la paume de ses mains, mais, comme je reste persuadée que chacune de nos émotions, chacune de nos trouvailles a son moment propre et privilégié…le don que nous allions découvrir 6 années plus tard ne devait pas voir complètement le jour à cet instant là !
Et, surtout….il faut savoir prendre le temps de « s’arrêter » pour découvrir, chose que nous n’avions sûrement pas imaginée à l’époque.
Hier, à l’occasion d’une magnifique journée en « rando de groupe » (dont je vous parlerai dans le prochain billet), le sujet fut abordé lors du repas par les amis qui nous avaient conviés à cette superbe matinée de marche suivie d’un très chaleureux pique nique.
Ses amis là aussi nous les connaissons depuis assez longtemps, puisque ce sont les parents de la meilleure amie d’enfance de Lola depuis la Maternelle …Qui ne se souvient pas des prénoms de ces 2 adorables diablesses rimant à l’unisson « Lola et Marina » ! La maman de Marina nous racontait comment elle avait assez récemment découvert son don de « sourcière » , au sein d’un groupe où se trouvait justement un sourcier (je ne sais si la forme au « féminin » existe pour ce terme mais je la fais exister !). Puis, une fois la découverte née, nos amis s’informèrent de façon approfondie sur les diverses composantes de cette pratique. Ce qui permit à notre amie de bien affiner son don et de pouvoir déterminer, par exemple, la profondeur du puits détecté…etc. Ils nous parlèrent aussi d’une simple chaîne utilisée à la façon d’un pendule …
De retour à la maison, Patrick ressentit le besoin quasi instantané de repartir sur les pas commencés il y a 6 ans en Haute Ardèche, il fit une baguette de cerisier …et voici ce qu’il découvrit, j’ai un plaisir fou à vous le faire découvrir
à mon tour aujourd’hui …