Je dédie ce conte, que je viens de composer, à tous ceux et celles qui ont perdu espoir
ou sont sur le point de le perdre …
_________________
Un jour qu’il se lamentait sur son triste sort, avec cette étrange sensation d’avancer dans le vide,
l’hiver se décida à quitter sa tanière solitaire et s’en alla voir son voisin l’automne, dont il entendait souvent au loin les cascades de rires …
« Dis-moi, gentil gai luron, pourquoi le temps ne s’acharne-t-il pas sur toi ?
Moi, il me fait ployer comme un vieillard et ne me laisse même pas le moindre oripeau pour me vêtir
!
A toi, il n’a rien enlevé ! Il t’a laissé du rouge aux joues, des étoiles dans le fond de tes pupilles et
des senteurs de bois sur ton coeur …
Et, tu en fais des farandoles et des farandoles, je t’entends souvent, mais où trouves-tu toute cette
énergie ?
Le temps semble t’ignorer ! »
« Le temps m’ignorer ? » répondit l’automne à la fois surpris et quelque peu amusé !
« Mais il a bien tenté, moi aussi, de me prendre dans ses filets et me réduire à néant mais
…je ne l’ai pas écouté !
Si tu as su entendre mes farandoles, as-tu su également tendre l’oreille au vent, à ce vent
ravageur qui cherche sans répit à décoiffer mon âme, qui sans cesse entre le gris et le bleu me ballotte pour me désorienter. Et crois-tu que mon coeur ne devrait pas saigner, lui aussi,
lorsqu’il voit tous ses rires un à un quitter le nid, pour aller s’étendre sur un sol mouillé …
Mais, vois-tu, j’ai toujours su garder en moi une réserve de bonheur !
Et, sais-tu où elle se trouve ? Dans une jolie boîte…
Je l’ai fabriquée avec des brindilles d’espoir, que j’ai assemblées une à une, et y ai
collé une belle étiquette afin de ne jamais la perdre de vue, où j’ai inscrit ces mots : Mes Rêves d’enfant.
Alors, ce vent, je l’ai pris à son propre jeu, le désarmant à mon tour !
Je lui ai parlé un autre langage, je l’ai en quelque sorte apprivoisé
…
Il fut si heureux qu’il fit danser à nouveau mes rires et il déploya pour eux de longs
tapis châtoyants où des ribambelles de garnemans vinrent courir et des promeneurs romantiques réchauffer leurs pas.
Comme je te l’ai dit, j’ai toujours conservé mon âme d’enfant et, entre deux lourdes
averses, je ne m’ennuie jamais …
Je continue à dessiner avec des crayons de couleur, à faire des cabanes et croquer des
colliers de bonbons …Il te suffit de contempler cette vie dans ma demeure !
Le bonheur rend artiste, tu sais …Si tu veux, je peux te montrer ! »
L’hiver, toujours un tantinet méfiant, accepta toutefois de rester quelques
jours.
Puis, il s’en retourna, à la fois émerveillé et craintif !
Toutes ces splendeurs qu’il avait vues chez son voisin l’automne, bien sûr, lui avaient
donné envie, mais il pensait déjà intérieurement que ses pauvres mains et son pauvre corps tout entier allaient fatalement se geler, et où puiserait-il alors assez de force pour construire tout
ce bonheur ?
Car, il s’appelait « Hiver », ne l’oublions pas, et n’était-il pas irréfutablement voué au
froid et à une sinistre poésie ?
Mais, si l’automne avait su convaincre le vent, il avait su aussi effleurer de ses doigts
couverts de baume les plaies de son triste voisin !
Alors, jour après jour, l’hiver se mit à l’ouvrage. Au début, il fut délicieusement gauche
puis, petit à petit, il réussit à tisser, sculpter, modeler, peindre chacune de ses peines.
Oh ! cela lui avait bien pris un certain temps, mais le résultat n’en était pas moins
prodigieux !
Il avait coiffé les grottes de grâcieux cheveux de laine, et les branches des sapins de
chapeaux rigolos…
Les
près, qui jadis se lamentaient, étaient tous les jours à la fête sur les longues nappes blanches qu’il avait
imaginées et d’où les arbres devenaient de sublimes chandeliers …
Des flocons il avait fait des germes de dentelles faisant naître l’enchantement, et des
grands lacs de beaux miroirs de glace afin que le ciel puisse y faire glisser son regard à l’infini …
Au fur et à mesure qu’il inventait, qu’il « se » réinventait, il approchait de l’émotion et
tout en lui se parait de lumière …A ce point qu’il attira auprès de lui le printemps !
Le printemps n’avait pu passer à côté de ce paysage rare sans le voir
…
Ils firent ainsi connaissance et, tellement bien ensemble en dépit de leurs différences,
ils en oublièrent les heures et le temps, échangeant un peu de leur univers, des mots, des secrets et même leurs tourments.
Le printemps repartit, fou de joie, et, pour remercier son ami, lui offrit de somptueuses
écharpes de feuillage et de fleurs afin qu’il n’eût plus jamais froid.
L’hiver n’était plus seul à présent, entre l’automne et le printemps
…
Mais, les rires entraînent d’autres rires et, bientôt, ce fut le soleil qui vint frapper à
sa porte, et il le fit sans vergogne !
Il se présenta, il portait un nom aussi vif que l’éclair « Eté » !
Il était d’ailleurs arrivé un peu comme un orage mais l’hiver, dieu merci, s’était défait
depuis longtemps de sa carapace de « misanthrope aigri » !
Il l’accueillit donc à bras ouverts. Il fut vite transfiguré par cet être enthousiaste et
passionné, à qui il arrivait même de verser des larmes d’allégresse, faisant scintiller toutes les eaux de la terre …
Il occupait ses jours à accrocher des rubans d’or de ci de là …C’était sa façon à lui de
dire « Je t’aime » au monde entier !
L’hiver écouta ce « grand voyageur de l’Amour » et, au fur et à mesure qu’il se laissait
bercer par ses paroles, ses yeux devenaient îles, ses bras ailes d’albatros, et ses lèvres de fraîches rives d’où l’on pouvait boire la vie à s’ennivrer …
Mais l’été racontait si bien que l’hiver s’endormit !
Devant son visage d’ange radieux, l’été se hissa sur la pointe des pieds, laissant l’hiver
voguer à sa guise et être enfin maître de son propre voilier …
Mais, avant de partir, il lui déposa sur un coin de sa mémoire ce petit mot
:
« A très bientôt »
Sabine.
Un très beau conte ! Ce que tu rédiges bien !!!!
Merci pour l’émotion qui s’en dégage .
Je t’embrasse bien fort , chère Sabine .
J’aimeJ’aime
Très beau conte plein d’espoirs.
J’adore l’automne. Hier en marchant l’après midi, des milliers de grues sont passées. Quelle magie !
Les traînardes étaient attendues par deux ou trois, et ramenées dans le vol.
Quelle leçon de solidarité.
Ce matin, derrière chez moi, un liquidambar au feuillage rouge, cachait un vol de grues qui dans le soleil avait le poitrail blanc. Imaginez le tableau, les couleurs !!!
Quand on voit ce spectacle comment ne pas rêver, comment ne pas se revitaliser à ces images ?
Gros baisers et à bientôt pour d’autres contes.
J’aimeJ’aime
Ma très chère Sabine,
Tu es un conteuse née ! Ce pauvre hiver, tu l’as si bien paré par son ami l’automne, qu’on ne le reconnaîtrait pas ! c’est pour cela que parfois, il y a des jours en hiver où tout scintille !
J’ai compris maintenant.
C’est un peu comme dans la vie des humains, les 4 saisons sont bien présentes aussi et si, quand on est à la fin, donc en hiver, on reste en lien étroit avec les autres générations, si on est
bien entouré, on est bien plus heureux.
C’est super bien écrit, très agréable à lire.
Je voulais aussi te remercier par rapport au commentaire que tu as laissé sur la vie de ma grand-mère. Maintenant que j’ai vieilli, je me rends compte de ce qu’elle a souffert, et ma mère aussi,
puisqu’elle a assisté à tout ça !
Mille bisous, chère Sabine.
J’aimeJ’aime
Mais quel beau conte tu nous as écri là, chaque saison à sa beauté ! bonne soirée! bisous !
J’aimeJ’aime
Sabine !
C’est trop ………..extraordinaire ces saisons sous tes doigts de brodeuse de mots ,d’images …Tout prend un visage ….Un tourbillon fou ,plus qu’un Conte un envol
…!!!!!!!!
Les bras m’en tombent
nos ailes s’ouvrent…
Hécate et ses Amis Zélés …
J’aimeJ’aime
C’est un conte merveilleux et ut écris merveilleusement bien. je suis sous le charme de ces saisons qui deviennent amies. Quelle belle leçon d’espoir. MERCI pour ce très beau partage. Je
t’embrasse très fort. Grâce à toi, je vais voir venir l’hiver avec un regard neuf;
J’aimeJ’aime
un bien joli conte où se retrouvent les quatres saisons et chacune peut beaucoup nous apporter , chacune à sa façon tout comme les êtres humains.
un bel enseignement pour comprendre qu’il suffit de colorier son coeur aux couleurs du bonheur pour y faire rentrer la magie .
Si nous joignons nos mains nous mélangeront tous les bonheurs et les chagrins et chacun puisera au milieu de ce coeur que formeront nos doigts l’espérance de lendemains radieux.
Il suffit parfois de rencontrer une âme radieuse comme la tienne pour illuminer notre journée .
bisous Sabine
J’aimeJ’aime
Bon ben qu’est ce que je vais pouvoir bien dire moi, bon c’est sûr ce conte est d’une prouesse hors du commun, avec toi les saisons ne sont que douceur dans nos oreilles…Bon vivement l’hiver,
ça fera un autre conte a produire…
Bisoussss…
J’aimeJ’aime
Cette ronde des saisons où chacune d’elles se soucie du bien-être de la précédente et invite la suivante à prendre le relais, est un bonheur des yeux et du coeur …C’est aussi un sage
regard sur la vie qui nous conduit sur un chemin où il nous faut accepter les fractures et nous ouvrir à de nouveaux lendemains, en préservant la cohérence et l’harmonie du temps qui
passe…
Merci Sabine pour cet écrit tendre, émouvant et tellement empreint d’espoir !
Bises, Plume .
J’aimeJ’aime
bonjour Sabine je te souhaite une très bonne journée amitiés bises rené
J’aimeJ’aime
Un bien joli conte , si l’hiver qui frappe durement les personnes , pouvait se parer des couleurs des autres saisons
Il ne faut jamais baisser les bras
Douce journée ,Sabine
Bisous
timilo
J’aimeJ’aime
Bonjour Sabine,
Je découvre ton enchanteresse poésie…. et j’ai pris plaisir à me laisser guidée au fil du temps, des saisons dans une légère allégresse.
Merci de ton talent, de tes mots d’âme, de tes images du coeur ; étincelles de vie qui ne demandent qu’à briller au firmament de l’espérance.
De la Joie sur ton jour belle âme.
Namasté
Soriah
J’aimeJ’aime
Oups, j’ai cliqué trop tôt….
Puisque l’Hiver est propice aux expériences nouvelles, j’aimerai, avec ton accord, le faire voyager vers les couleurs arc-en-ciel de mon blog…
Des bisous tendresse.
Soriah
J’aimeJ’aime
bonjour Sabine,
Voilà bien longtemps que tu m’avais demandé à participer à la communauté des blogs dédiés à Compostelle… Des problèmes personnels m’ont tenue éloignée de mon blog pendant quelques mois et je
reprends contact aujourd’hui avec toi pour te dire le plaisir que j’ai à t’accueillir dans cette communauté. N’oublie pas d’insérer le logo de la communauté dans ta colonne de droite et d’avoir
la gentillesse de mettre l’adresse de mon blog dans ta liste de sites amis, je ferai de même pour ton blog…
Je t’embrasse,
Martine, la Pèlerine
J’aimeJ’aime
Non! tu ne vas pas t’enmêler, pour nous différencier, chacune pose un petit truc, moi c’est « ! » nicole ! voilà tout simplement et puis j’ai un autre blog dont je te donne l’adresse si
tu veux cliquer, ce sont des montages et qq citations que je trouve au hasard de mes balades sur le net ! peut-être viendras-tu j’en ai besoin, j’ai peu de monde qui s’y arrête alors ? bisous
!
J’aimeJ’aime
Bonjour Chère Sabine,
Comme il est doux ce conte… Je l’ai lu avec grand plaisir et j’aime tes métaphores qui développent les plaisirs que chaque saison apporte. Grâce à ta façon de voir l’hiver et de
l’amener à dialoguer avec l’automne, j’ai revu le calendrier d’une autre manière.
Très bel écrit plein de douceur et de ton regard toujours aussi optimiste sur la vie !
Je t’embrasse bien fort,
Cathy.
J’aimeJ’aime
Coucou Ma Douce Côpîne Conteuse !!! Sourire
Whaouuuuuuuuu !!! Qu’il est bon et doux de s’encourager auprès de Mr Hiver qui s’ébroue tendrement de sa torpeur pour mon plus grand Bonheur !!! immense sourire
Comment ne pas reprendre ESPOIR après ce tendre récit ?!! intense sourire
Merci ma Côpîne Sâbîne pour ce merveilleux moment passé « au creux de ton Conte »!!! Sourire
Je te souhaite un très doux jeudi ainsi qu’un superbe week-end prolongé !!! Sourire Festif
Mille très très tendres Bisoudoux par milliards de tonnes
***Tincky***
J’aimeJ’aime
Merci Sabine pour ce très beau conte qui nous emporte dans le courant de son énergie, une belle énergie positive, celle de la Vie avec une majuscule. Tu as raison de dire en préambule qu’il est
propre à redonner l’espoir, c’est vrai ! Et puis il y a de la fantaisie, des couleurs, une musique, un sourire, j’aime cela.
Bisous et douce soirée. Alain
J’aimeJ’aime
Une merveilleuses histoire pleine de tendresse et d’espièglerie comme tu en as le secret – et que tu racontes si
bien…
J’aimeJ’aime
Tout cela est magnifiquement écrit chère Sabine.
Moi j’ai une boite à bijoux virtuel, j’y dépose les milliers de diamants que la vie m’offre en cadeaux dans les bons moments. Quand ça va mal, j’ouvre le coffre et
je mets un diamant souvenir à mon cou.. bises
J’aimeJ’aime
Sabine, c’est sublime ! Quelle belle conteuse tu es, déroulant le fil des saisons sur une guirlande de rires et de poésie. Je laisse encore chatoyer tes images dans mon ciel d’enfant, moi qui à
l’automne de ma vie rit et pleure encore comme une enfant, joue, dessine avec mes crayons de couleurs et mes godets d’aquarelle, jongle avec les mots et les maux, rebondis sur mon trampoline
imaginaire, me balance sur mon trapèze invisible et marche sur la corde de la vie comme un équilibriste aux petites ailes bleutées sans filet dessous pour amortir une chute que je préfère éviter.
Belle journée à toi la conteuse. Je retourne dans mon monde, le coeur rempli de lumière et de poésie. Je dépose à tes pieds quelques éclats de rire. Marie
J’aimeJ’aime
je l’ai relu avec ravissement ce magnique conte
bon week-end Sabine
gros bisous
J’aimeJ’aime
je me contente de regarder la photo.. j’aime ce bleu ciel au travers des branches.. il y a toujours du bleu quelque part.
J’aimeJ’aime
Bonjour Sabine
Vraiment un très beau conte et quelle belle leçon d’espoir
Le charme et la beauté existe en toute chose et en tout être
Bon weekend Sabine
Bisous
Tony Yves
J’aimeJ’aime
Je reconnais bien là ta persévérance chère Sabine, la vie au fil des saisons est tissée de rêves et d’espérances, ne fermons pas nos esprits…
Je t’embrasse en te souhaitant un bon week-end.
(mes yeux sont guéris, depuis juillet ce fut long! je peux tourner la page)
J’aimeJ’aime
Ah nos mots viennent de se croiser!!!
J’aimeJ’aime
j’ai beaucoup aimé ce conte où je vois une belle ronde amicale … et qui dit amitié, dit chaud au coeur.
Je te souhaite une bonne soirée – bises
J’aimeJ’aime
Je passe bien matin , sans doute , j’en profite pour relire ton conte et te souhaiter une douce et agréable journée
Bisous
timilo
J’aimeJ’aime
Bonjour Sabine,
Je profite de mon jour de repos pour lire ce merveilleux conte
qui redonne en effet espoir en la puissance des couleurs de la vie…
Je ne verrais peut-être plus l’hiver ou son image du même oeil,
j’essaierais de lui donner ces couleurs pour qu’il s’adoucisse en repensant à ces sages et douces paroles….
Tu sais assembler les différences pour en faire une force,
l’union pour affronter les problèmes est delà une réussite, une solution, une victoire….
Je te laisse avec le coeur léger…Amitiés…écéa.
J’aimeJ’aime
« à très bientôt » ma douce Sabine…
J’aimeJ’aime
Bonjour chère Sabine .
Gros bisous et bon dimanche malgré les bugs sur OB !
J’aimeJ’aime
Joli compte Sabine , le charme de te mots opère et les ondes des saisons caresse ma peau, de la chaleur de l’été pour réchauffer le cœur aux vents d’automne pour sécher les pleures.
Bisous de fin de journée Sabine et à bientôt.
Roger
J’aimeJ’aime
Bonsoir Sabine,
Merci de redonner l’espoir en offrant ce joli conte aux lecteurs. Tu es ce joli papillon d’automne qui se pose sur nos épaules pour nous donner force et énergie afin de permettre au bonheur de
fleurir et de grandir grâce à l’amour qui voyage dans l’univers, du ciel à la terre pour distribuer ses étoiles chaleureuses dans les coeurs glacés qui ne peuvent que se réchauffer en te lisant.
Bisous et douce soirée Sabine. Corinne.
J’aimeJ’aime
bonjour Sabine commence bien cette nouvelle semaine amitiés bises rené
J’aimeJ’aime
Très beau conte,tout simplement! Plein d’enseignements.
Bonne journée
J’aimeJ’aime
que ce conte de saison est doux et merveilleux ! J’aime beaucoup ! Je pense aussi que les saisons sont toutes merveilleuses à leur façon… Il faut ouvrir son regard, écouter la flamme de la vie
et de la joie… MERCI douce SAbine, tu fais fleurir la vie ! bisous
J’aimeJ’aime
Sab,
Quel délice à te lire, comme tu racontes bien, ce conte est plein de joie, d’espoir , de vie ..Les saisons sont tour à tour présentés par leur bon côté comme les êtres que l’on cotoie, ils ont
tous quelques choses à nous apprendre, dans cha que être humain il y a du bon à nous de le voir.
Alors Mr Hiver sait bien nous faire découvrir ses beautés et sous ta plume agile j’ai bien envie de le connaitre.
Tu sais allé là ou il faut je dirai même à l’essentiel, c’est un joli conte à raconter aux petits comme aux grands, chacun y trouvera, j’allais dire son conte (compte).
Sourire…
Merci tu as charmé mon coeur, et fait briller mes yeux…
C’est toute la magie que j’aime…
Merci et bisous
EvaJoe
J’aimeJ’aime
Magnifique!!!!!j’ai adoré ce conte!!!!je crois que je vais revenir te rendre visite assez souvent.Amitié lamée
J’aimeJ’aime
Bonjour Sabine,
Merci pour ce joli conte rempli d’espoir et de belles images.
Bonne journée.
Amicalement,
Rose
J’aimeJ’aime