En allant me promener …

 

 En allant me promener chez mon amie Jackie dans son  MA GNI FI QUE univers, j’y ai trouvé un beau diamant d’humanité et l’ai cueilli … 

 

Depuis,

il a fait couler dans mes yeux des ruisseaux de joie et d’amour, faisant chanter à tue-tête mon coeur ….!

 

Ce diamant n’est autre que cette vidéo, où des choeurs entonnent un hymne à la paix, en mémoire à l’apartheid, sans jamais avoir encore chanté ensemble. Ces voix, par leur résonance et leur foi, semblent atteindre le sommet de la liberté et du merveilleux, c’est ….magique et sublimement bouleversant !!!

                                                                                                          Ecoutez   …

 

 

(Prenez bien soin d’éteindre mon lecteur en colonne de droite) 

 

 

 

 

J’essaie de vous offrir pour demain la seconde balade au berceau de la mosaïque !

Je ne serai plus trop disponible, ma fille aînée et son « petit bonobo » arrivant dès demain et pour une durée indéterminée ….

De plus, nous partons en fin de semaine prochaine dans mon fief natal. 

Je jonglerai au mieux pour vous !!! 

 

 

Echos du temps

 

 

Dana …………………je t’AIME !

 

 

Danakil, c’est ………

              tout un univers de paix, d’amour et de
justice,

                 à travers le voyage, les
larmes et les espoirs des peuples !

 

 

 

 

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Nous avons offert le CD à notre fille (lola) pour Noël, mais le squattons en permanence,
car …

nous en sommes gaga !!!

 

 

 

 

 

Je vous laisse en écouter un peu, en lire et méditer….

 

 

 

 

 

Des sons dont l’écho résonne pur et fort,

pour des paroles pleines de coeur et de vérité !

 

 

 

 

 

REGARDS CROISES

 

 

Parce ce qu’il y a dans l’air un climat social étrange

Et que des hommes qui vivent ensemble ne veulent plus de ce mélange

Parce que cette société telle qu’elle est en train d’évoluer

Sème le trouble met des distances entre des hommes qui voulaient s’aimer

La méfiance qu’elle instaure les barrières qu’elle bâtit

Entre le blanc le noir le gris le silence et le bruit

Tout le monde se parle mais personne ne s’entend plus aujourd’hui

Le gouvernement détruit ce que le bon sens avait construit

Des ministères bizarres viennent tout remettre au point zéro

Lustrent le drapeau français et se prennent pour des héros

Pour nous l’identité d’un homme, c’est pas le pays où il est né

Mais les voyages qu’il a pu faire, les personnes qu’il a rencontrées

C’est dramatique de voir comme l’administration se borne

A laisser crever celui qui n’entre pas dans ses normes

Mais le peuple mérite les gouvernants qu’il a placés

Reste à savoir s’il aura l’intelligence de les déplacer

 

C’est pour l’avenir d’un peuple, je veux parler en son honneur

Lui demander assis de réparer ses erreurs

Oui pour l’avenir d’un peuple, je veux parler en son honneur

Lui demander ainsi de réparer ses erreurs

BIS

 

 

Il y a tant de bonnes raisons pour ne jamais baisser la garde

Mettre à la porte ceux qui traitent la jeunesse comme une flemmarde

Parce qu’elle aime faire de la musique ou parce qu’elle ne trouve pas d’emploi

Mais qui peut croire que c’est un choix d’aller s’installer dans un bois

Malheureusement aujourd’hui à la tête de l’Etat

On s’intéresse aux banques mais pas au logement du tiers état

On garde un oeil sur le monde mais c’est le monde qui nous regarde

Voit ses enfants se déchirer pour les causes les plus ringardes

On a voulu globaliser les hommes se sont déplacés

Normal vous appeliez ça l’ouverture des marchés

Vivre ensemble sereinement est tout sauf compliqué

Sauf quand on nous rabâche l’inverse à longueur de journée

Et contrairement à ce qu’on fait croire elle a donné bien plus que pris

La diversité ne mérite pas de connaître un tel mépris

Laissons-nous vivre en harmonie avec les gens qui nous entourent

Cessons de penser que derrière chaque homme se cache un vautour

C’est pour l’avenir d’un peuple, je veux parler en son honneur

Lui demander assis de réparer ses erreurs

Oui pour l’avenir d’un peuple, je veux parler en son honneur

Lui demander ainsi de réparer ses erreurs

 

 

 

REFRAIN

 

On ne se bat pas pour la même chose

Ni avec la même volonté

Chacun sa croix chacun sa cause

Mais tous les destins sont liés

 

 

 

 

 

Danakil, c’est encore…

 

de la tendresse, du soleil, et le respect des valeurs simples …

 

A écouter aussi :

la route des songes, héritiers du sort, à tes côtés, passer…

 

 

 

___________

 

 

 

Je devais vous emmener sur des chemins de terre et de feuillage et je vous parle musique…

Mais ainsi vont les jours, traversés par la magie de l’inattendu !

Je n’ai pas eu le temps, non plus, d’aller voir tout le monde mais c’est plus que prévu et, pour ceux et
celles chez qui je ne serai pas encore entrée, ne mangez pas toutes les sucreries que vous m’aviez gardées (!!!)


DIRE le MONDE

 

 

« Pour  qu’il y ait plus d’hommes qui posent des ponts que d’hommes qui dressent des
murs »

 

 

Cette citation n’est pas de moi cette fois, mais je l’ai trouvée tellement belle et juste que j’ai eu
envie de vous la faire partager !

 

Elle figurait sur le petit dépliant de la compagnie « ARC EN CIEL THEATRE », une association de « théâtre
forum », une sorte de superbe « arbre à paroles démocratique » où chaque habitant peut venir débattre d’une situation qui ne lui convient pas, à propos de sa ville, de son travail, de son quartier,
de sa famille, et en faire une aventure commune !

Ainsi, au coeur de ce débat, est mis en bouquet une variété de savoirs, d’émotions et d’intelligences,
où chacun pourra venir proposer sa solution, son alternative, sa pensée profonde !

C’est, en quelque sorte, une autre façon de faire de la politique, et…dont j’aime infiniment la
dimension.

 

Nous assistions hier à un des « festivals d’éducation populaire », intitulé « DIRE LE
MONDE », organisé dans le cadre de ces rencontres de théâtre institutionnel et de fêtes avec spectacles, concerts, ateliers de pratiques solidaires et artistiques ……….

 

Et, hier, avait lieu le concert de ZEBDA avec, en première partie, ce groupe marseillais
« GARI GREU » qui nous a de suite « éclatés » !!!!

Ecoutez plutôt, ce n’est pas mon enregistrement (je n’ai jamais fait de vidéo et n’y
tiens pas, j’aime trop « faire la folle », sauter, taper des mains, crier ……………!)


 


 

 

Ensuite, sont arrivées nos « magnifiques têtes de gavroche » avec

 

ZEBDA  !

 

 

 

Des pitres au grand coeur, qui donnent la fièvre de vivre et de bouger,

mais aussi qui secouent le coeur par leurs paroles profondément humaines et engagées …

Ils aiment tellement la foule, les gens, la vie ….qu’ils nous entraînent
irrésistiblement dans leur ronde comme  
« de vrais frères » !

 

La vidéo dure environ 7 minutes, mais prenez le temps de la regarder jusqu’au bout, car
ils sont vraiment …D’ENFER !!!

 

Je commence d’ores et déjà à « pister » leurs prochains concerts ….


 

 

 

 

——————–

 

 

 

Je ne suis pas encore franchement de retour parmi vous, avais juste envie de vous faire
vivre ce beau et grand feu d’artifice qui fit exploser nos coeurs hier !

Je vais rester encore quelque temps en pause, mais commencerai à revenir sur vos pages
petit à petit, alors …

 

A bientôt !



Quelques pas ensemble

 

 

Je sais, il ne fait pas très chaud mais, si je vous prends par la main, me suivrez-vous pour faire ….

                    quelques beaux ricochets !

 

 

 

 

 

 

 

 

Et, en chemin, trouverons-nous peut-être …

                                    un oiseau transi à réchauffer !

 

 

 

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                                                                            Merveilleux week end !

 

                               *******

 

Je n’ai pas eu le temps de passer vous voir ces derniers jours, j’arrive doucement …

                        Vous m’faites une tite flambée ?     

 

 

 

Ali et Toumani

 

 

Beaucoup d’entre vous savent toute l’affection que je porte à cet instrument magique, comme inspiré
des dieux de la sérénité, qu’est …


 » la kora« 

       


pour…

sa complicité, son harmonie, sa sensualité avec 

    » le
silence
 » …

 

Au détour de mon instinct, j’ai déniché une petite merveille …


alors …

 

 

j’ai regardé, un à un , les doigts

pleurer et rire avec les sons

la métamorphose des visages

la douce et scintillante soie

des rives du mot sage

et me suis sentie renaître …à foison !

   Sabine.


(Pensez à éteindre la musique du blog : le lecteur se trouve dans la colonne de droite à « Caresses musicales », en dessous de tous mes liens amis
« mes hamacs »)

        


A bientôt !


Flow …à grands flots d’émotion !

 

Le vent était aux portes du Zénith, hier soir, sur les rives de Nantes

Nous avons gravi les marches de la passerelle d’un pas pressé, je me souviens, les mains
furtivement posées sur la poitrine afin de maintenir fermés nos manteaux sans nous en soucier vraiment ….comme si …

       un courant bien plus grand nous attendait là-haut,

                  comme s’il était déjà
entrain de nous emporter…


comme si…


il allait nous laver, 

                 et faire naître en nous de
nouveaux mots purs !

 

 


ET …

 

« Merci Yannick, d’avoir poussé ta gueulante un soir…. »


écoutez plutôt !


 

 

 

 

 

Elle était là « Flow », hier, en première partie de spectacle, comme c’est souvent le cas
sur les shows de Yannick …

Il est devenu, en quelque sorte, « le grand frère défenseur de son art
! »

 

 

Bien sûr que nous avons dansé crié chanté et balancé frénétiquement les bras hier sur
les sons et la voix de Noah, et bien sûr que l’heure n’est pas du tout à « la tristesse », d’ailleurs, vous le savez …elle n’a jamais fait partie de mon registre !

 

Mais, comme elle le fit pour Yannick, ce bout de bonne femme m’a
littéralement…


bouleversée !

 

 

 

 » Flow c’est …

la messagère de toutes les dérives humaines, 

ses chants sont des cris !

Alors, parfois, ses mots deviennent les larmes acides d’une pluie qui nous traverse,

pleurant sur les pavés froids de trottoirs si authentiques …

Mais on les boit, on les écoute ces mots car

ils nous ramènent vers un ciel avide d’arcs-en-ciel,

et sentent un monde encore tout scintillant de vert,

une terre suprêmement inondée d’amour …

 emplie des vérités du coeur ! «  

Sabine.

 

 

 

D’elle, vous avez pu un peu écouter (sur la 1ère vidéo) l’un de ses plus beaux cris :
« Le sourire d’un môme« …


                 Il faut encore écouter  Zara, les arbres les petites
figures, les sens en usure, déjà
 ….et tant d’autres sûrement !

 

 

Vous dire où mes frissons se sont logés davantage …la réponse est PARTOUT ! 

Je vous laisse déjà quelques liens, que vous pourrez allez écouter …

 

Je sais

Les anges

La Louise

 

        Et, hier, on a aussi chanté ça 

avec elle …

 

 

 

Et si on reprenait tout …

en   coeur !

 

 

A celle qui est tout à la fois

une Piaff, un Zola, un Abbé Pierre 

de la chanson !



Comptine D’un Autre Eté, l’après-midi

 

Qu’est-ce qu’un coup de foudre ? Une sublime extase du coeur qui , en une fraction de seconde, vous
transforme en poupée de cire aux grands yeux décontenancés !

C’est bien ce phénomène là qui se produisit pour moi en ce lundi où, comme chaque jour, des enfants
s’exprimaient dans la salle de motricité où donne ma bibliothèque …

Je les vis , en file indienne, chacun défilant à tour de rôle avec un long foulard de soie, le faisant
virevolter comme un caprice, une jolie boutade du temps …

Ils le faisaient sur une musique que je ne saurai qualifier comme toute chose dont on tombe follement
amoureux  …

 

Cette musique, vous allez l’écouter là, à l’instant ! Mais, avant cela,

j’aimerais que vous fermiez les yeux et imaginiez chacun de ces enfants ……………


 

 


 

Je l’ai également mise sur le lecteur du blog, car il ne se passe plus un jour où je ne ressente pas
l’envie de me mirer dans sa voix  …

 

Vous aimez ? Je le sens …

       Mais …vous pouvez rouvrir les yeux ! 

                      Vous ne voulez plus
?

 

Bon, eh bien ! (et c’est bien parce que c’est vous !), je vous laisse  ce lien :
link

 

       Je vous recommande tout particulièrement  les trois valses : en
version originale, en version orchestre et en version piano !

                 

Que votre coeur devienne, l’espace de ces quelques notes, ce foulard voluptueux et coloré volant au gré
de vos envies et …


de vos rêves d’enfant !


 


Je dédie cet article à mon amie « Papillotte »

                

Salif Keita : un monument !

 

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Après avoir quitté Sokone (Sénégal) fin décembre 2009, nous avons continué à entretenir des échanges
passionnés avec « François » , notre ami africain de là-bas, notre … »p’tit frère de coeur ! »  (Lire le récit de Sokone en deux parties, dans le cri « Voyages » ).

C’est au fil de nos multiples messages que François m’a fait connaître ce chanteur et musicien hors du
commun, au parcours prodigieusement exceptionnel !

C’est avec un bonheur des plus ardents que je vous fais partager aujourd’hui cette
découverte…

Chaque ligne de sa vie se lit avec dévotion, tellement les évènements y sont forts et suscitent
l’admiration !

 

              Mais, d’abord …

                          
       on l’écoute ?

 

La vidéo que vous allez voir est un « monument » …

           j’ai pleuré de bonheur et d’émotion en la visionnant
!

 

 

Je n’ai pu vous insérer ici la vidéo ni même vous amener vers un lien (ça ne marche pas).
Aussi je ne saurai que vivement vous conseiller de, tout simplement,  taper ceci :

                    « Salif
Keita – La différence (Nouvel album) »

Précisez bien « nouvel album » car il y a eu deux
albums portant le même nom !

 

Cette petite démarche ne vous demandera qu’une minute ou deux tout au plus , mais pour
….

                      
          »  un immense moment ! « 


Cette vidéo est toute  » l’âme de mon article  »
!

 

 

Sa vie en quelques lignes : un exemple de Foi
et de courag
e

 

« Voix d’or de l’Afrique », « Caruso africain », les surnoms ne manquent pas pour qualifier la
beauté de cette voix unique. Salif Keïta est un artiste généreux dont le parcours est marqué par un remarquable mélange des genres musicaux qui séduit les publics du monde entier. Sans jamais
perdre de vue ses racines les plus profondes, ce prince mandingue n’a de cesse de construire un pont entre l’Afrique et le reste du monde, mais aussi entre les différentes cultures
africaines.

 

Le 25 août 1949, naît Salifou Keïta à Djoliba, au Mali, village au bord du fleuve Niger.
Mais dans cette région au cœur de l’Empire Mandingue qui réunit plusieurs peuples et langues (Bambara, Malinké, Soninké,…), la naissance de ce bébé albinos, noir à la peau blanche, fait scandale.
On lui attribue de dangereux pouvoirs, d’autant que sa famille descend en ligne directe du fondateur de l’Empire au XIIIème siècle. Le père de Salif renvoit alors le bébé et sa mère. Mais, les
prédictions optimistes d’un chef religieux le font changer d’avis.

Son enfance est solitaire. Sa couleur de peau provoque souvent railleries et rejet de la
part des autres enfants. Son père lui-même ne lui adresse pas la parole pendant des années. Il se réfugie dans les études pour lesquelles il excelle. En outre, il est fasciné par la musique et
apprend le chant en écoutant les griots, sorte de poètes-chanteurs, de conteurs qui récitent les épopées familiales et royales et transmettent ainsi la tradition orale de génération en
génération. C’est aussi dans les champs que l’enfant se forge cette voix singulière. Son père, agriculteur, l’y envoie régulièrement, et pour éloigner singes et oiseaux pilleurs de maïs, le jeune
Salif passe ses journées à crier et à vociférer.

Salif Keita, féru d’études, brillant élève, veut devenir instituteur. Mais sa vue, aussi
peu protégée des U.V. que sa peau, est mauvaise. Elle l’empêche de réaliser son souhait, mais il en a d’autres : il veut être musicien, ce qui va créer un scandale dans sa famille.
Traditionnellement, la musique est réservée à la caste des griots, et les Keïta sont une famille de princes. Il est rejeté par sa famille  . Dans les années 60, il quitte donc sa famille
pour habiter seul. Salif Keita chante dans les cafés et sur les marchés de Bamako, loué par Amadou et Mariam. Son chant particulier, puissant,  habitué à repousser primates et volatiles
 et haut interpelle un saxophoniste : Tidiane Koné propose à Salif Keita de rejoindre sa formation, le Rail Band du Buffet de la Gare de Bamako. Il accepte et interprète les chants
traditionnels avec toute la modernité de son esprit libéré des normes. . En 1973, il rejoint un autre groupe, Les Ambassadeurs qui joue d’abord au motel de Bamako, puis avec lequel il s’installe
à Abidjan, en Côte d’Ivoire. En 1978, il y enregistre son premier album Mandjou dans lequel il rend hommage au president Guinéen Ahmed Sékou Touré et au peuple mandingue.

En 1980, il enregistre aux États-Unis deux disques : Primpin et Tounkan. En 1984, il quitte
Abidjan pour revenir à Bamako et retrouver sa famille, notamment son père vieillissant. Il participe cette année-là  au festival de musiques métisses d’Angoulême. Il rencontre un succès
auprès du public français, et vient s’installer en France à Montreuil, fief de la communauté malienne ; Il y vit modestement et discrètement et y  anime de nombreuses fêtes
traditionnelles dans la communauté malienne immigrée. L’année suivante, il participe, à la demande de Manu Dibango, à l’enregistrement d’un album collectif « Tam tam pour l’Afrique » au profit
de l’Éthiopie où sévit la famine. 

En 1986, il enregistre un album, Soro, de blues-rock chanté en malinké. Il participe alors
au festival des Francofolies à La Rochelle en 1987, et à un concert organisé à Londres pour le 70ème anniversaire de Nelson Mandela, au côté notamment du sénégalais Youssou N’Dour. Il sort en
1989 son second album en France Ko-Yan où à travers la chanson « Nous pas bougé », il aborde les problèmes que rencontrent les immigrés maliens en France. Son troisième album Amen sort en juin
1991.

C’est un grand retour à la tradition que marque l’enregistrement de « Folon » en 1995.
Produit par le béninois Wally Badarou, l’album est arrangé par le maître d’œuvre de « Soro », Jean-Philippe Rykiel. Grand défenseur du panafricanisme, Keïta évoque dans « Africa » la force de son
continent. Il rend à nouveau hommage à Nelson Mandela (« Mandela ») et dédie son disque aux albinos, pour lesquels il a crée une association en 1990, « SOS Albinos ». C’est d’ailleurs sa jeune nièce
albinos, Nantenin, que l’on voit sur la pochette de l’album. Mais les influences occidentales ne sont pas absentes et l’album est fortement empreint de blues, dont Salif Keïta est très friand,
ainsi que de salsa et de zouk. 

 À partir de 1996, bien que toujours installé à Montreuil, il ouvre un studio
d’enregistrement à Bamako afin d’aider les jeunes musiciens maliens (dont notamment Fantani Touré, Rokia Traoré…). En 1997, il sort un album « Sosie » composé de titres de chanteurs français
(Maxime Le Forestier, Michel Berger, Jacques Higelin ou Serge Gainsbourg) interprétés à la kora ou au balafon. En juin 1999, il sort un nouvel album intitulé « Papa » où il évoque son père, décédé
deux ans plus tôt. 

En 2001, il ouvre un club couplé à un studio d’enregistrement qui porte le nom de Moffou, nom d’une flûte
utilisée par les enfants bergers. En mars 2002, sort un album portant le même nom.

Le 12 décembre 2004, à Johannesburg (Afrique du Sud), il est distingué aux Kora Awards pour l’ensemble de sa carrière

 Son militantisme tous azimuts transpire encore sur « La Différence », le nouvel album
qu’il présente en novembre 2009. Il évoque une nouvelle fois la situation tragique des albinos en Afrique. Une cause qui lui tient particulièrement à cœur.

Ce disque est aussi pour lui l’occasion de dénoncer, au risque de déplaire, la « mode
dynastique » qui s’installe dans de nombreux pays africains ou encore le laisser-aller en matière de pollution, du fleuve Niger notamment (« Ekolo d’amour » et « San Ka Ka »).
 

Lors de la cérémonie des Victoires de la musique 2010 en mars 2010, il obtient une Victoire
dans la catégorie « Album musiques du monde de l’année ».

Son engagement politique :

Salif Keïta est candidat aux élections législatives maliennes de 2007. Il figure en
troisième position sur une liste présentée par leMouvement patriotique pour le renouveau, le Bloc pour la démocratie et l’intégration africaine (BDIA) et le Parti citoyen pour le renouveau (PCR)
dans la circonscription de Kati. Il milite actuellement au sein du PCR.

Le 19 juillet 2010, Salif Keïta a été nommé Ambassadeur de la paix par Jean Ping, président
de la commission de l’Union africaine, afin de soutenir «  les efforts de la Commission pour résoudre les conflits et promouvoir la paix sur le continent ».

 

                     Une
très belle citation
:

« Un disque, c’est comme un enfant. On se fiche qu’il soit beau ou
pas. L’important, c’est d’avoir fait ce qu’on voulait faire. On va l’élever et le défendre pour lui donner le chemin de la gloire. Mais déjà, il me plaît, parce que c’est mon enfant. (…) C’est
le fruit de l’amour. Et l’amour, partout, perce plus fort que les balles d’un fusil. » 

 

                                                      
                                          **************

 

J’espère vous avoir offert une belle page musicale …

                      
       Que votre week end soit doux mes amis !  


 

Quelque part au-dessus de l’arc-en-ciel

La première fois que j’ai entendu cette musique, j’ai pleuré …comme si quelque chose me liait
immensément fort à elle !

             je viens de comprendre pourquoi aujourd’hui

 

 A la vie, 

       A l’amour

         Aux aubes naissantes

              et

 

      (Prendre soin d’éteindre le lecteur du blog)               
                
               aux messages du ciel !
  A toi, mon ange, qui fus fasciné par ce pays de corail !

 Notre beauté réside uniquement au regard que l’on porte sur l’existence !
                   Sabine.

 

Un baiser sur l’univers

Sur ce blog consacré à l’amour, au partage et … » à la tolérance »
,
                   voici
un message très fort, d’une beauté infinie, qui a fait s’envoler tous mes mots pour laisser fleurir l’émotion en arômes et contours des plus imprévisibles !
Il est tellement fort, tellement beau, qu’il suffit de l’écouter, de le prendre de plein fouet dans le coeur, comme
certains silences qui imprégnent et qu’on oublie jamais …
 
Ma plume a revêtu pour l’occasion la couleur de l’Espérance pour vous parler de mots purs, de mots simples
écrits et dits avec du coeur, un splendide coeur de rapeur :
                                     
ABD AL MALIK – c’est du lourd. 
              (il vous suffit de cliquer sur ce
titre pour être dirigé vers le site).
 
Ton regard sur la vie est drôlement fantastique, ABD AL MALIK, bourré de respect et de courage, au point que je
l’ai intitulé « un baiser sur l’univers » !
Mais essaie de ne jamais bafouer pour autant le frère qui ne sait pas (ou plus ) se réveiller et ouvrir
les yeux pour regarder la lumière …car, chaque être est porteur de sa propre souffrance et de son propre passé !
 
 
            Et, comme à chaque fois que j’ai
pu découvrir un cadeau sur le chemin de l’apôtre ou de la vie, je crie MERCI… je te crie merci ma Gwendoline, ma fille, pour cette magnifique « poésie rap »,
appelée « slam », que tu viens de m’offrir !
Alors, j’ai envie d’entourer ces écrits d’une tonne de fleurs, d’oiseaux et de soleils , avec la fougue et la
rage du bonheur , de la même façon qu’un enfant le ferait  avec ses plus beaux crayons de couleur entre les lignes d’un refrain ou d’un poème à
réciter !
 
Je n’ai pas grand chose sous la main, mais le partage n’a de valeur que par l’intensité du sentiment
……….
                         
je t’offre en échange ces quelques fleurs. Elles ont, elles aussi, leur propre histoire : offertes à un moment de « grand blues », elles m’ont en quelque sorte
 
    « redonné espoir et vie« 
 

 
   Ah! j’oubliais encore un petit cadeau …
 gwendoline,  on t’aime très fort
Rose rouge Coeur rouge Rose flétrie 
                         
et encore MERCI Cadeau