…déjà inondés de ta lumière …
Depuis mon message d’espoir du dimanche 23 novembre, et surtout la révélation extraordinaire de « Nicole » sur mon Livre
d’Or peu après… mon coeur se remet à croire en l’intense présence de Yoann dans l’idéal qu’il nous projette !
d’Or peu après… mon coeur se remet à croire en l’intense présence de Yoann dans l’idéal qu’il nous projette !
Et je revis de sa lumière qui rayonne sur mes jours et en moi !
Lola et Patrick n’ont cessé d’y croire depuis le 1er jour. Ce ne fut pas tant ma foi qui partit à la dérive, mais
plutôt un sentiment « charnel » agrippé à mon être !
plutôt un sentiment « charnel » agrippé à mon être !
Et pourtant…je vais à présent vous raconter toute son histoire, depuis son envol vers ce paradis d’où il nous regarde,
et vous vous rendrez compte à quel point déjà je ne pouvais que croire en lui et aux splendides lueurs de son âme !
et vous vous rendrez compte à quel point déjà je ne pouvais que croire en lui et aux splendides lueurs de son âme !
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Dès notre arrivée aux Pompes Funèbres de « Brax », nous ignorions quelles seraient nos réactions face au lit où
nous attendait Yoann, avec impatience ! Je parle d’impatience car c’est sans nul doute ce sentiment (le sien) qui suscita chez nous 3 un tel « enthousiasme » au moment de quitter la maison. Malgré
ma facilité à trouver les mots, je ne puis là en trouver d’assez beaux, radieux et émouvants pour décrire la manière dont notre « Marie Claude » nous acceuillit et nous amena vers Yoann ! Et, comme
elle dit, elle aurait pu le mettre n’importe où mais, par un fulgurant hasard (qui n’est pas un hasard), elle choisit la chambre nommée « Jasmin »…comme notre fleur préférée, comme
l’arbre semé dans le petit bout de terre de notre terrasse, qui escalade nos pierres et qui, mêlé aux senteurs de menthe sauvage, embaume toute notre maison dès le printemps.
nous attendait Yoann, avec impatience ! Je parle d’impatience car c’est sans nul doute ce sentiment (le sien) qui suscita chez nous 3 un tel « enthousiasme » au moment de quitter la maison. Malgré
ma facilité à trouver les mots, je ne puis là en trouver d’assez beaux, radieux et émouvants pour décrire la manière dont notre « Marie Claude » nous acceuillit et nous amena vers Yoann ! Et, comme
elle dit, elle aurait pu le mettre n’importe où mais, par un fulgurant hasard (qui n’est pas un hasard), elle choisit la chambre nommée « Jasmin »…comme notre fleur préférée, comme
l’arbre semé dans le petit bout de terre de notre terrasse, qui escalade nos pierres et qui, mêlé aux senteurs de menthe sauvage, embaume toute notre maison dès le printemps.
« indemne ». Le garagiste, paraît-il, s’en souvenait et ne comprenait pas ! C’est son « histoire » qui l’emporta sur le reste, car il a en effet …….une superbe histoire !
Sur la 1ère photo (prise au Noël dernier), nous venions tout juste de lui offrir, et il le mit aussitôt avant
d’entrer dans ce petit troquet (d’où nous le voyons là sortir heureux) après avoir dégusté d’authentiques chocolats italiens, aux saveurs divines, dans de longs mazagrans et dans un décor très
« cave aux poètes » !
d’entrer dans ce petit troquet (d’où nous le voyons là sortir heureux) après avoir dégusté d’authentiques chocolats italiens, aux saveurs divines, dans de longs mazagrans et dans un décor très
« cave aux poètes » !
Sur la 2nde photo (prise en juillet dernier) il nous accompagne sur le quai de gare où le train nous mena à Agen,
d’où nous reprîmes ensuite nos pas de Condom jusqu’à Burgos… ce fut notre avant-dernier contact avec lui : on ne pouvait mieux choisir !!! Quant au tout dernier, il eut lieu sur son nuage de
jasmin en nuées douces et paisibles…où nous avons passé tant de temps à l’embrasser, lui parler et même rire à ses côtés, et comme nous fûmes si heureux, si bien ensemble !
d’où nous reprîmes ensuite nos pas de Condom jusqu’à Burgos… ce fut notre avant-dernier contact avec lui : on ne pouvait mieux choisir !!! Quant au tout dernier, il eut lieu sur son nuage de
jasmin en nuées douces et paisibles…où nous avons passé tant de temps à l’embrasser, lui parler et même rire à ses côtés, et comme nous fûmes si heureux, si bien ensemble !
Il était bien sûr enveloppé de son joli pull blanc …blanc comme la pureté de l’enfance, blanc comme les 1ers beaux
flocons de neige qui tombèrent dès les 1ères minutes de sa naissance …blanc comme la couleur dans laquelle j’aimais tellement le voir !
flocons de neige qui tombèrent dès les 1ères minutes de sa naissance …blanc comme la couleur dans laquelle j’aimais tellement le voir !
Et, je l’ai déjà dit, je sais, dans mon message d’espoir, son visage était d’une candeur et d’une sérénité sans
pareil. Et, c’est sans doute pour cette raison, et la seule, que nous sommes tous trois sortis de sa chambre…incroyablement sereins, presque joyeux, comme « apaisés de ses propres
souffrances », que nous vivions nous aussi, en partage avec lui, depuis un an !
pareil. Et, c’est sans doute pour cette raison, et la seule, que nous sommes tous trois sortis de sa chambre…incroyablement sereins, presque joyeux, comme « apaisés de ses propres
souffrances », que nous vivions nous aussi, en partage avec lui, depuis un an !
Consternés toutefois par nos réactions, nous en fîmes part aussitôt à notre chère « Marie Claude »
qui a immédiatement trouvé l’explication, pour elle …évidente ! Elle qui se destine également, dans un proche avenir, à mêler ses pas à celui de St Jacques…
qui a immédiatement trouvé l’explication, pour elle …évidente ! Elle qui se destine également, dans un proche avenir, à mêler ses pas à celui de St Jacques…
Nous avions déjà un peu échangé des mots auparavant avec elle et, elle nous répondit
ceci : « …c’est Yoann qui, inconsciemment, vous a amené vers le Chemin de Compostelle, afin qu’aujourd’hui vous
puissiez avoir une telle foi et une telle paix » !
Il nous l’offrit il y a environ 4 ans, car on en parlait déjà un peu …de notre chemin de Compostelle!
…….Oh! combien tu avais raison , Marie Claude ..et combien nous te remercions Yoann, mon ange !
ceci : « …c’est Yoann qui, inconsciemment, vous a amené vers le Chemin de Compostelle, afin qu’aujourd’hui vous
puissiez avoir une telle foi et une telle paix » !
Tout aussi consternés par cette réponse …nous entrèrent alors dans une profonde réflexion , et puis,
soudainement …………nous nous sommes alors souvenus de ce livre
soudainement …………nous nous sommes alors souvenus de ce livre
Alors il trouva ce livre et nous en fit cadeau …et quel cadeau ! puisqu’il s’agit de la version la plus
primitive du Chemin et contée par un voyageur également aux instincts des plus primitifs, j’ai nommé « Philippe Lemonnier ».
primitive du Chemin et contée par un voyageur également aux instincts des plus primitifs, j’ai nommé « Philippe Lemonnier ».
Et durant le même nombre d’années, donc environ 4 ans… ce livre m’a pratiquement suivi de partout. Il a été,
en quelque sorte : l’amorce de notre projet …celle d’un extraordinaire « feu d’artifice » !
en quelque sorte : l’amorce de notre projet …celle d’un extraordinaire « feu d’artifice » !
…….Oh! combien tu avais raison , Marie Claude ..et combien nous te remercions Yoann, mon ange !
Et de combien de remerciements notre coeur regorge à ce jour, envers tous ceux et toutes celles qui accompagnèrent
Yoann vers ces cieux délicieux !
Yoann vers ces cieux délicieux !
Alors merci à toi, ma famille, la « vraie » (car je parlerai, tout à l’heure, d’une « soeur spirituelle »!)…merci
donc à toi grande soeur, celle de chair et de sang, et à ton petit « nid » qui fut là aussi dans toute son infinie tendresse ! Et une famille, « sa » famille, est bien celle dont le coeur
est sans superflu…celle dont le coeur sera capable d’oublier ses propres émotions pour se mettre en totale symbiose avec les nôtres. Et c’est pour toutes ces raisons que vous furent un
cadeau précieux, par votre présence le jour de cette belle cérémonie, cadeau et divine épaule sur laquelle nous avons pu nous reposer!Une famille est en cela la chose la plus précieuse,
mais, de la même manière qu’un bâton de berger …elle ne se fait force et secours que lorsqu’en nous tout est épuisé !
Ce petit livre, surtout fait de prières, décrit le déroulement du 47ème Pèlerinage Militaire International à
Lourdes.
donc à toi grande soeur, celle de chair et de sang, et à ton petit « nid » qui fut là aussi dans toute son infinie tendresse ! Et une famille, « sa » famille, est bien celle dont le coeur
est sans superflu…celle dont le coeur sera capable d’oublier ses propres émotions pour se mettre en totale symbiose avec les nôtres. Et c’est pour toutes ces raisons que vous furent un
cadeau précieux, par votre présence le jour de cette belle cérémonie, cadeau et divine épaule sur laquelle nous avons pu nous reposer!Une famille est en cela la chose la plus précieuse,
mais, de la même manière qu’un bâton de berger …elle ne se fait force et secours que lorsqu’en nous tout est épuisé !
Merci à toi, Marie la pèlerine, qui se déplaça de Nantes et fut là aussi, du haut de tes … »1m57″(excuse moi du
peu de cms que j’aurai oubliés !), mais aussi « grande » que sur le chemin, où l’on te rencontra du Puy à Figeac…
peu de cms que j’aurai oubliés !), mais aussi « grande » que sur le chemin, où l’on te rencontra du Puy à Figeac…
Merci au Père Pascal, âgé de 86 ans, également natif de la même terre que Yoann, et qui nous créa un discours
aussi vivifiant qu’un superbe halo de verdure !
aussi vivifiant qu’un superbe halo de verdure !
Merci à ce cher Capitaine, dont je tairais le nom par discrétion, qui me tendit avec une infinie sincérité
bordée d’affection…son cadeau à lui : souvenir d’un pèlerinage qu’il fit lui même et qu’il me remit en fin de cérémonie. Le voici en image
bordée d’affection…son cadeau à lui : souvenir d’un pèlerinage qu’il fit lui même et qu’il me remit en fin de cérémonie. Le voici en image
Lourdes.
Yoann n’oubliera sûrement jamais l’honneur que vous lui fîtes alors…Quant à moi, je le garderai
toujours !
toujours !
Merci également à tous ceux et toutes celles, absents corporellement mais tellement présents par l’ardeur de
leurs prières, qu’ils ont su porter notre courage jusqu’au ciel, en extirpant nos pleurs ! Et merci à toi tout particulièrement « Evajoe et les mots » ou « frangine spirituelle » dont
je parlais tout à l’heure qui, à l’annonce de l’évènement, a aussitôt quitté maison et famille pour s’enfuir à des kms de chez elle et effectuer une retraite de prière !
leurs prières, qu’ils ont su porter notre courage jusqu’au ciel, en extirpant nos pleurs ! Et merci à toi tout particulièrement « Evajoe et les mots » ou « frangine spirituelle » dont
je parlais tout à l’heure qui, à l’annonce de l’évènement, a aussitôt quitté maison et famille pour s’enfuir à des kms de chez elle et effectuer une retraite de prière !
Merci enfin à tous ceux et toutes celles qui sont venus par la suite déposer près de lui , sur un coin de
notre cheminée : « un morceau de leur coeur » ! Une partie de lui s’y reflète à présent et pour toujours……………merci, du plus intime et du plus profond de nous même !
notre cheminée : « un morceau de leur coeur » ! Une partie de lui s’y reflète à présent et pour toujours……………merci, du plus intime et du plus profond de nous même !
Un soir que nous étions abattus, nous avons empoigné ce petit livre si cher à nos coeurs, Capitaine, et
l’avons ouvert au hasard….voici la prière qui s’inscrivit alors devant nos yeux :
l’avons ouvert au hasard….voici la prière qui s’inscrivit alors devant nos yeux :
PRIERE
DE BIENHEUREUSE MERE TERESA
DE BIENHEUREUSE MERE TERESA
Seigneur, quand je suis affamé,
donne-moi quelqu’un qui ait besoin de nourriture.
Quand j’ai
soif,
soif,
envoie-moi quelqu’un qui ait besoin d’eau.
Quand j’ai
froid,
froid,
envoie-moi quelqu’un à réchauffer.
Quand je suis
blessé,
blessé,
donne-moi quelqu’un à consoler.
Quand ma croix devient lourde,
donne-moi la croix d’un autre à partager.
Quand je suis pauvre,
conduis-moi à quelqu’un dans le besoin.
Quand je n’ai pas de temps,
donne-moi quelqu’un que je puisse aider un instant.
Quand je suis humilié,
donne-moi quelqu’un dont j’aurai à faire l’éloge.
Quand je suis
découragé,
découragé,
envoie-moi quelqu’un à encourager.
Quand j’ai besoin de la compréhension des autres,
donne-moi quelqu’un qui ait besoin de la mienne.
Quand j’ai besoin qu’on prenne soin de moi,
envoie-moi quelqu’un dont j’aurai à prendre soin.
Quand je ne pense qu’à
moi,
moi,
tourne mes pensées vers
autrui.
autrui.